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20140907

Le cas de Christian: «Je n’ai ni bras ni jambes mais je vis comme vous»



Le cas de Christian: «Je n’ai ni bras ni jambes mais je vis comme vous»
Tant que l’on vit, on ne cessera pas de voir et/ou d’entendre des choses, des créatures, des événements … qui nous font voir ce bas-monde autrement. J’ai vu plusieurs cas d’infirmités dont les victimes ont refusé de se soumettre à la fatalité et d’être des fardeaux pour leurs familles et leurs sociétés. Ils ont plutôt démontré par la force de la volonté que l’être humain -quelles que soient les conditions de son existence- est capable de faire «Quelque chose» pour se rendre utile et se distinguer au lieu de devenir une charge morale ou physique pour les autres. J’ai particulièrement été touché par trois cas de ce genre de personnes:
1- Le cas de Jessica cette jeune américaine née sans bras (voir le récit).
2- Le cas de Nick qui est né sans bras ni jambes (voir le récit).
3- Le cas de Khaldun qu’un accident a transformé en un corps inanimé étendu sur un lit et relié à un appareil de respiration assistée (voir le récit).
Je pensais qu’après ces trois cas, je ne trouverai plus un autre cas qui mérite d’être mentionné; mais hier (samedi 6 septembre 2014) de retour de la mosquée après la prière d’Ichâ (la dernière prière obligatoire du jour), j’ai voulu capter la télévision Bonferey pour les informations de 21h mais je suis tombé sur la télévision Tal qui diffusait un documentaire intitulé: «Je n’ai ni bras ni jambes mais je vis comme vous». Puisque j’ai raté le début du documentaire, j’ai tout de suite tapé le titre dans le moteur de recherche Google. J’ai pu ainsi télécharger le même documentaire et lire plusieurs articles relatifs à Christian.
Le récit de Christian Homme Tronc sans bras ni jambes mais qui vit comme les autres, nous interpelle en général et la jeunesse en particulier. Je dirai que Christian a réussi là où ont échoué beaucoup de jeunes qui jouissent de leurs membres. Combien sont-ils aujourd’hui ce genre de jeunes qui ont adopté la «Théorie de la victimisation qui consiste à se voir toujours victime de quelque chose (les parents, l’école, l’Etat, la société…) au lieu de fournir l’effort nécessaire pour changer positivement les choses en leur faveur?
Ainsi, «Au lieu de maudire l’obscurité, il faut plutôt allumer une bougie» comme le dit un proverbe.
Cheikh Boureima Abdou Daouda
Niamey, le 7 septembre 2014.


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